Marlène Ngalissamy

basson

Mon objectif, en tant que musicienne et artiste, est d’encourager l’expression émotive par le truchement de la musique et de promouvoir la diversité, l’acceptation et le sentiment d’appartenance dans diverses communautés. 

Marlène a découvert le basson à l’âge de 13 ans et a rapidement ressenti une profonde passion pour cet instrument. Au rythme de l’épanouissement de sa curiosité, elle a été acceptée au Conservatoire de musique de Montréal où elle a étudié auprès de Mathieu Harel et de Stéphane Lévesque. Puis, elle a poursuivi son parcours au Curtis Institute of Music pour obtenir sa licence post-baccalauréat auprès de Daniel Matsukawa. 

Elle a eu l’occasion de participer à de nombreux ateliers et de recevoir des leçons et des conseils de toute une gamme de maîtres du monde entier. Mentionnons le festival de musique Pacific au Japon, l’International Summer Academy of the mdw de l’Université de musique et des arts du spectacle de Vienne, et le festival Pablo Casals en France. 

Marlène est actuellement basson solo de l’Orchestre symphonique de Québec, fait partie du Marlboro Music Festival au Vermont, s’est produite comme basson solo invité avec le Chineke! Orchestra à Londres, l’Orchestre symphonique de Québec et le Saint-Paul Chamber Orchestra au Minnesota. Elle fait également partie du tout nouvel Ensemble Obiora de Montréal et de l’Orchestre symphonique de Drummondville. En 2020, elle a reçu le fonds de bourse Arkady Fomin du North Shore Chamber Music Festival et a été finaliste du 2020 National Bassoon Excerpt Competition. 

Lauréate du premier prix du Concours de musique du Canada (2012) et finaliste du concours de basson Meg Quigley (2015), elle s’est produite en tant que soliste avec l’orchestre symphonique d’Edmonton, l’Orchestre Métropolitain de Montréal, le Toronto Pops, l’orchestre du Conservatoire de Montréal et l’orchestre des jeunes de Montréal. 

L’une des huit lauréates de la bourse pour jeunes artistes de la Fondation Hnatyshyn (2013), Marlène vit au Québec et travaille en tant que pigiste au Canada et parfois à l’étranger. 

Elle a également fait partie d’un programme communautaire d’artistes enseignants, en collaboration avec le Penn Memory Center de Philadelphie, où elle a animé une classe de « créativité par la musique » pour des personnes présentant divers stades de la maladie d’Alzheimer et de troubles cognitifs. 

Ce qu’elle préfère dans son métier de musicienne, c’est de se rendre dans la collectivité, particulièrement dans les écoles, pour parler les belles possibilités de la musique et pour faire découvrir le basson!